Diogène sur Twitter (pourquoi je traduis James Lindsay)

La découverte du travail de James Lindsay m’a fait l’effet d’un véritable phare dans la tempête. Car c’est une chose de savoir, en soi, que l’on n’est ni raciste, ni sexiste, ni un suppôt de l’extrême droite, comme ces nouveaux fascistes ont tôt fait de l’affirmer ; c’en est une autre de savoir quoi répondre à ces accusations, ou de savoir quoi faire de sa gêne face à la mise en place à marche forcée de ces idées prétendument progressistes.

Le mirage de la diversité

[James Lindsay] Le secteur de la DIE (diversité, inclusion, équité) a manipulé un certain nombre de termes pour leur attribuer une définition spécialisée sensiblement différente de celle que le commun des mortels leur associe habituellement. [...] Tous ces termes représentent des programmes politiques, et rien de bénéfique, d’utile, de moral ou qui approche de près ou de loin tout ce que les gens pourraient considérer de bon, de bienveillant ou méritant leur soutien.

Les théories critiques, un virus dans le corps politique libéral

[James Lindsay] Pour bien comprendre la situation, il faut se représenter une injection d’ARN viral dans le système libéral qui nous détourne des moyens et des méthodes capables de produire du progrès libéral, pour nous les faire percevoir comme une forme parmi d’autres de domination et d’exploitation par les hommes blancs occidentaux.

Non, personne n’est coupable de racisme « systémique »

[James Lindsay] Avec les événements de ces derniers mois, on vous aura certainement expliqué au moins une fois que toutes les personnes « blanches » et « perçues comme blanches » sont soi-disant complices de « racisme systémique ». [...] Il est fort possible que le côté « systémique » de la chose vous paraisse louche ; vous méritez donc de comprendre ce qu’il désigne avant qu’on vous oblige à l’accepter et à en faire « avancer la cause » pour le restant de vos jours.

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